Ces pensées de Marguerite, dans son journal, justifient le travail attribué à François Pompon. En effet, les deux gisants en creux montre l'harmonie du couple se tenant par la main, tenant pour
René de Saint-Marceaux des ciseaux de sculpteur, et pour Marguerite, grande mélomane et découvreuse de talents artistiques : une partition musicale. Dans la rondeur des visages, l'épure des corps
des gisants, nous percevons la main de François Pompon.
Pour la description de la sépulture voir l'article dans l'onglet Famille Saint-Marceaux.